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Le marketing (parfois traduit mercatique en français1) est une discipline du management qui cherche à déterminer les offres de biens, de services ou d'idées en fonction des attitudes et de la motivation des consommateurs, du public ou de la société en général. Il favorise leur commercialisation (ou leur diffusion pour des activités non lucratives). Il comporte un ensemble de méthodes et de moyens dont dispose une organisation pour s'adapter aux publics auxquels elle s'intéresse, leur offrir des satisfactions si possible répétitives et durables. Il suscite donc par son aspect créatif des innovations sources de croissance d'activité. Ainsi l'ensemble des actions menées par l'organisation peut prévoir, influencer et satisfaire les besoins du consommateur et adapter ses produits ainsi que sa politique commerciale aux besoins cernés.
Après avoir, en principe, réalisé des études de marché, il est d'usage de segmenter par types de clientèles l'approche marketing, au niveau opérationnel dans le cadre de la stratégie marketing, et d'appliquer à chaque segment la "règle des 4 P"2 (voir marketing-mix, d'autres répartitions sont possibles) :
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Le marketing se conçoit comme le premier maillon créatif devant aboutir à des ventes et à la fidélisation d'une clientèle solvable ciblée par la stratégie marketing afin d'assurer leséconomies d'échelle indispensables à la survie de l'entreprise face à un environnement changeant. Par la publicité, le marketing peut aussi servir la création d'un portefeuille de nouvelles clientèles sans rechercher automatiquement une marge sur le court terme. Ceci constitue néanmoins un risque qui doit s'adapter à la stratégie globale de l'entreprise. Le marketing a par nature un rôle d'influence et de persuasion (ce qui conduit ses critiques à n'y voir que manipulation et propagande), les publics pouvant être très variés (consommateurs, entreprises clientes, pouvoirs publics, électeurs...).
Le marketing s'inscrit dans une organisation et un management qui attend de lui une vente efficace d'offres plus ou moins complexes (dont les services associés) auprès des clients potentiels (plus ou moins responsabilisés). En effet, c'est le client qui devrait pouvoir déterminer le plus souvent l'activité de l'entreprise ; les apporteurs de capitaux ne disposant d'outils d'évaluation qu'après résultat des ventes. Ainsi est-il fondamental pour le management de déterminer au plus tôt s'il est utile de vendre une offre par les études de marché, mais aussi pour la pérennité de l'entreprise d'utiliser la comptabilité analytique du système d'information pouvant évaluer les économies d'échelles à réaliser. L'efficience est en effet initialement de la responsabilité du marketing. Autrement dit, ce service doit adapter les offres de telle sorte que la marge générée couvre au moins les frais fixes (du coût de production et du coût de revient) de l'entreprise par le total des ventes. Il est possible et préférable d'estimer le niveau de dépassement d'un coût cible lié aux fonctions attendues par le client par rapport auxcoûts fixes (c'est une sorte de seuil de rentabilité amélioré). Ces fonctions attendues par le client nécessitent une qualité de service négociée avec la logistique, la gestion des ressources humaines ou le management du système d'information. Ces calculs sont de l'ordre de la comptabilité analytique qui est donc un outil fondamental du marketing et moins de celle de la finance d'entreprise (qui évalue la rentabilité car non concernée par le coût de l'offre) ou de la gestion de la qualité (qui tend à évaluer les synergies). Pour réaliser cet objectif de la stratégie marketing, le marketing va chercher à jouer inégalement sur toutes les composantes de l'offre (marketing-mix). Pour aller plus loin, le marketing va s'adapter aussi à de nombreuses situations d'où l'émergence de marketing spécifiques. Les nouvelles techniques de communication représentant un nouveau moyen de distribution pour les entreprises, un marketing spécifique peut y être utilisé.
Il faut garder en tête que le marketing est à la fois un esprit ou une connaissance du marché, un outil ou un ensemble de méthodes d'étude du marché et un moteur et support des actions de l'entreprise sur ce marché.
Le marketing de masse a évolué ces dernières années d'une approche globale vers un marketing segmenté puis individualisé. L'augmentation des services et les nouvelles techniques de communication ont fait évoluer le marketing. John Kenneth Galbraith envisageait auparavant3 le marketing comme un outil servant une filière inversée du capitalisme. Le consommateur n'étant plus maître de ses choix du fait d'absence de pouvoir compensateur, la complexité des technologies et le poids des investissements devaient servir le pouvoir bureaucratiqueindustriel d'une technostructure. Cependant, l'hypersegmentation du marché et la défense du consommateur (consumérisme) donne un certain pouvoir au consommateur4. D'un marketing cherchant à convaincre le client, les entreprises cherchent maintenant à s'adapter à celui-ci5. Ainsi les entreprises cherchent à assurer une « co-construction » de l'offre avec le client ou à étendre le nombre de services souvent par la création de bouquets satisfaisant les segments de clientèle. Ceci implique une certaine modularité ou une différenciation compétitive retardée6 qui ne facilite pas les économies d'échelle recherchées par le management.
Le marketing naît en réaction à la pensée économique classique qui, au xixe siècle, était incapable de résoudre les problèmes provoqués par la rapide croissance de l'économie. Les premières notions apparaissent au xviie siècle et xviiie siècle en France et au Royaume-Uni, mais l'histoire du marketing s'inscrit dans l'histoire du management et constitue donc une discipline récente caractérisée par l'environnement et les besoins spécifiques du xxe siècle. La crise de 1929 a particulièrement affecté cette période par l'intensification de la concurrence qui en a résulté.
L'environnement et les besoins ayant caractérisé l'émergence du marketing comme discipline d'analyse du marché sont en particulier :
Dans une approche taylorienne du concept de marketing, certains auteurs se sont assez tôt consacré au sujet. Charles Hoyt publie en 1912 La gestion scientifique de la force de ventegénéralisé par Percival White en 1927.
C'est dans la foulée du New Deal en 1937 que naquit l'American marketing association (AMA) et le Journal of marketing. L'activité publicitaire avait connu un développement plus précoce. Les grands industriels ont, dès le début du siècle, conçu le projet de favoriser la mentalité consumériste correspondant au dispositif industriel de masse peu adapté à des besoins plus individualisés. Mais la rationalisation d'une telle démarche n'en était qu'à ses débuts et il lui manquait l'intégration au processus général du marché que lui apportera le marketing.
Cependant le concept de marketing est surtout né de l'idée de placer le consommateur au centre des affaires. Entre 1944 et 1957, certains auteurs ont enrichi ce concept comme : J. McKitterick, P. Drucker, F. Borch, R. Keith et Th. Levitt, Alderson (1957).
Le concept de marketing est devenu une discipline de management en 1960 par l'application systématique des outils dans une optique managériale à cette époque8.
Idée de Neil Borden mise en application par Jerome McCarthy, le marketing mix constitue une évolution complémentaire par sa recherche de segmentation des difficultés théoriques relatives au marketing.
Durant les trente dernières années, de nombreuses autres écoles de pensée de marketing se sont distinguées de cette approche, notamment l'école du consumer research (représentée par Morris B. Holbrook, notamment), l'école postmoderne (Stephen Brown), ou encore l'école de la modélisation (DeSarbo), voire de l'échange ([Richard Bagozzi]). Récemment est apparu le courant alternatif de la Théorie Culturelle du Consommateur (Consumer Culture Theory). La démarche n'est pas positiviste mais interprétativiste. L’approche positiviste vise à établir puis valider empiriquement des lois universelles les plus objectives possibles. L’approche interprétativiste laisse place à l’expérience de l'individu. Chaque groupe culturel définit pour ses relations des sens et des symboliques différents qu'il convient d'interpréter. On trouve la source et les méthodes d'investigations de cette démarche en sociologie.
La démarche marketing est une attitude de recherche, d'analyse, d'écoute du marché et de son environnement pour mieux s'y adapter.
Les études de marché permettent de recueillir des informations afin de mieux connaître la cible convoitée et l'environnement (juridique, politique, social, règlementaire, économique, culturel...) de cette cible. Ceci permettra d'adapter les méthodes de marketing opérationnel et stratégique en conséquence.
Il existe plusieurs techniques permettant la réalisation d'études marketing, cependant toutes reposent sur la même démarche : analyse de la problématique, analyse de la cible, élaboration du cahier des charges, mise en place de l'action, recueil des informations, traitement des informations, analyse des informations, préconisations.
Les techniques du marketing se fondent sur l'étude du comportement du consommateur. Des outils pluridisciplinaires se complètent afin de former une base solide, empiriquement fiable. La psychologie, la sociologie et la microéconomie forment un triangle en interrelation. La validité théorique des concepts utilisés importe moins que la validité de leur prédiction sur le terrain. La psychologie du marketing est multiforme.
Les publications les plus prestigieuses de ce domaine (le Journal of Consumer Research notamment) se définissent en général comme des publications interdisciplinaires et les articles qu'on y trouve servent souvent de base à d'autres recherches de sciences sociales pures.
Il semble qu'actuellement l'un des sujets les plus à la pointe soit l'étude des phénomènes inconscients modifiant l'humeur et les émotions. Les facteurs qui régulent la formation d'uneintention chez le consommateur sont le sujet de nombreuses études.
Sans oublier le fait qu'avec l'arrivée d'internet on travaille directement sur la population totale et moins sur des panels. Toutefois, l'erreur d'échantillonnage doit être étroitement surveillée, en effet, la population adepte d'internet n'est pas représentative dans de nombreuses études.
Cette stratégie vise à mettre l'entreprise concernée en adéquation avec les exigences implicites ou explicites du marché sur lequel elle agit. Les bases de cette stratégie sont de découvrir les besoins des consommateurs potentiels et de définir les produits et services. La politique de communication, la publicité, la promotion et l'organisation de la vente des produits n'est quant à elle que la partie la plus visible du marketing auprès du grand public.
La stratégie marketing est la démarche d’analyse et de réflexion pour réaliser l’adéquation offre-demande qui s'inscrit dans la stratégie globale de l'entreprise. Il s'agit d'un travail de long terme structuré essentiellement autour du marketing opérationnel et pas autour des activités (DAS). C'est une stratégie tournée délibérément plus vers les économies d'échelles (la vente) et moins vers les synergies organisationnelles du fait de la segmentation des leviers (les 4P) de l'analyse.
Le marketing opérationnel est la concrétisation sur le terrain des décisions d'orientation prises au niveau de la stratégie marketing et aboutit à l'élaboration d'un plan marketing. Le service marketing d'une société devra prendre en compte un maximum de paramètres sur le marché du produit ou du service à vendre, ceci afin de mettre en place une stratégie commercialepour l'entreprise.
Comme au sein des organisations, la prise de décision en marketing ne se fait pas toujours de manière descendante : de la stratégie marketing vers le marketing opérationnel. Il est possible d'imaginer que des décisions critiques puissent être prises directement par des agents dits opérationnels, ou que la stratégie s'établisse après avoir reçu les résultats d'opérations.
Le marketing opérationnel est la concrétisation sur le terrain des décisions d'orientation prises au niveau du marketing stratégique (même si, en pratique, toutes les décisions ne sont pas toujours prises à ce niveau). C'est une politique à court terme, qui doit être constamment adaptée aux variations de la situation du marché. Le marketing opérationnel est le stade intermédiaire entre l'action de terrain, qui doit s'adapter en permanence, et la stratégie marketing, qui concerne les orientations générales, il conduit à l'établissement d'un plan d'action, appelé plan marketing, pour une période donnée (un an par exemple). Ce plan doit être cohérent avec les plans concernant les autres domaines d'actions de l'entreprise (recherche-développement, production, finance, ressources humaines, système informatique, etc.) et la politique générale de l'entreprise.
Le marketing opérationnel par souci de simplification est segmenté en quatre principaux domaines appelés marketing mix. Cette segmentation est arbitraire et a pour simple objectif de simplifier la prise de décision au niveau marketing. Chaque partie du marketing mix n'est pas définie de manière stricte et peut donc a priori couvrir tous les domaines concernant le marketing.
Ces quatre P qu'on appelle marketing mix (plan de marchéage du marketing opérationnel) ont été introduits en 1960 par Jerome McCarty. Il s'agit de9 :
On ajoute parfois un cinquième P, le packaging (« emballage »). (Généralement, celui-ci est considéré comme une composante du produit.) Toutefois cela ne concerne que les produits physiques, et non pas les services qui représentent désormais la majorité des échanges commerciaux et donc des actions marketing. On considère le personnel comme un des P du marketing mix, il est souvent pris pour le cinquième P.
Aujourd'hui, on voit apparaître les 5C (autre segmentation arbitraire pouvant aussi rendre l'analyse exhaustive) :
Le concept de produit ne se limite pas au produit lui-même ; Il inclut les éléments suivants : l'emballage, le conditionnement, le design, les normes qu'il respecte, les labels, l'image de marque, le cycle de vie du produit, la gamme de produit, ...
Le prix (pour le client) peut être vu simultanément comme la somme des coûts, de la marge du vendeur et des taxes diverses ou comme le montant qu'un client est prêt à payer pour ce produit ; prix psychologique, il s'agit du prix d'acceptation optimal (selon les théories de l'école autrichienne). La demande est généralement élastique : le nombre d'achats évolue par rapport à l'évolution du prix. Si le prix augmente, la demande baisse et inversement. En conséquence, différentes politiques de prix sont possibles, comme par exemple la politique d'écrémage, qui cherche à vendre moins de produits, mais plus cher, et donc ainsi à dégager un plus grand bénéfice. Le prix peut également être vu de manière qualitative (fixe-variable), de manière dynamique (politique de solde) ou relationnelle (politique de fidélisation). Une grande méconnaissance des acheteurs est à signaler dans le secteur des services : le prix des services est généralement sous-estimé par rapport aux prix des produits. D'où l'importance d'un marketing beaucoup plus pédagogique et donc plus coûteux pour ce secteur. Cependant, de nombreuses législations interdisent la vente à perte (notamment en Belgique ou en France, depuis 1997 et la loi Galland).
La distribution comprend les activités qui rendent les produits disponibles et accessibles sur le marché par un merchandising attractif.
Exemples de modes de distribution fonction de la taille :
Grande distribution (et autres grandes enseignes liées...)
Grands Magasins (ou GMS - Grandes et Moyennes Surfaces, GSS - Grandes Surfaces Spécialisées)
Détaillant
Canal : Voie d'acheminement constituée d'une succession verticale d'intermédiaires, la somme des canaux constituant un circuit.
Grossiste, Semi-grossiste ou centrale d'achat
VPC (vente par correspondance)
Réseau : Circuit et individus l'animant.
Force de vente (FDV : les commerciaux se déplacent parfois pour aller au contact des clients avec le produit)
Franchise
Courtier (et autres réseaux...)
Business Marketing is the practice of individuals, or organizations, including commercial businesses, governments and institutions, facilitating the sale of their products or services to other companies or organizations that in turn resell them, use them as components in products or services they offer, or use them to support their operations. Also known as industrial marketing, business marketing is also called business-to-business marketing, or B2B marketing, for short. (Note that while marketing to government entities shares some of the same dynamics of organizational marketing, B2G Marketing is meaningfully different.)
In the broadest sense, the practice of one purveyor of goods doing trade with another is as old as commerce itself. As a niche in the field of marketing as we know it today, however, its history is more recent. In his introduction to Fundamentals of Business Marketing Research, J. David Lichtenthal, professor of marketing at the City University of New York's Zicklin School of Business, notes that industrial marketing has been around since the mid-19th century, although the bulk of research on the discipline of business marketing has come about in the last 25 years.
Morris, Pitt and Honeycutt, 2001, point out that for many years business marketing took a back seat to consumer marketing, which entailed providers of goods or services selling directly to households through mass media and retail channels. This began to change in middle to late 1970s. A variety of academic periodicals, such as the Journal of Business-to-Business Marketing and the Journal of Business & Industrial Marketing, now publish studies on the subject regularly, and professional conferences on business-to-business marketing are held every year. What's more, business marketing courses are commonplace at many universities today. In fact, Dwyer and Tanner (2006) point out that more marketing majors begin their careers in business marketing today than in consumer marketing.
Business Markets -- (Business Marketing Management:B2B By Michael D Hutt & Thomas w Speh) Business markets are markets for products & services, local to international, bought by; 1. Businesses, 2.Government Bodies, 3.Institutions such as Hospitals or corporates for incorporation (E.G; ingredient materials or components) for consumption(E.g process materials, office supplies & consulting services) for use or for resale..... The only markets not of direct interest are those dealing with products or services which are principally directed at personal use or consumption such as packaged grocery products , home appliances, or consumer banking The factors that distinguish business marketing from consumer marketing are the nature of the customer & how the customer uses the product.
Although on the surface the differences between business and consumer marketing may seem obvious,[says who?] there are more subtle distinctions between the two with substantial ramifications. Dwyer and Tanner (2006) note that business marketing generally entails shorter and more direct channels of distribution.
While consumer marketing is aimed at large groups through mass media and retailers, the negotiation process between the buyer and seller is more personal in business marketing. According to Hutt and Speh (2004), most business marketers commit only a small part of their promotional budgets to advertising, and that is usually through direct mail efforts and trade journals. While that advertising is limited, it often helps the business marketer set up successful sales calls.
Marketing to a business trying to make a profit (business-to-business marketing) as opposed to an individual for personal use (Business-to-Consumer, or B2C marketing) is similar in terms of the fundamental principles of marketing. In B2C, B2B and B2G marketing situations, the marketer must always:
These are the fundamental principles of the 4 Ps of marketing (the marketing mix) first documented by E. Jerome McCarthy in 1960.[1]
While "other businesses" might seem like the simple answer, Dwyer and Tanner (2006) say business customers fall into four broad categories: companies that consume products or services, government agencies, institutions and resellers.
The first category includes original equipment manufacturers, such as large automakers who buy gauges to put in their cars and also small firms owned by 1-2 individuals who purchase products to run their business. The second category - government agencies, is the biggest. In fact, the U.S. government is the biggest single purchaser of products and services in the country, spending more than $300 billion annually. But this category also includes state and local governments. The third category, institutions, includes schools, hospitals and nursing homes, churches and charities. Finally, resellers consist of wholesalers, brokers and industrial distributors.
So what are the meaningful differences between B2B and B2C marketing?
A B2C sale is to a "Consumer" i.e. an individual who may be influenced by other factors such as family members or friends, but ultimately the sale is to a single person who pays for the transaction. A B2B sale is to a "Business" i.e. organization or firm. Given the complexity of organizational structure, B2B sales typically involve multiple decision makers. The marketing mix is affected by the B2B uniqueness which include complexity of business products and services, diversity of demand and the differing nature of the sales itself (including fewer customers buying larger volumes).[2] Because there are some important subtleties to the B2B sale, the issues are broken down beyond just the original 4 Ps developed by McCarthy.
B2B Branding is different from B2C in some crucial ways, including the need to closely align corporate brands, divisional brands and product/service brands and to apply your brand standards to material often considered “informal” such as email and other electronic correspondence. it is mainly of large scale when compared with B2C
Because business customers are focused on creating shareholder value for themselves, the cost-saving or revenue-producing benefits of products and services are important to factor in throughout the product development and marketing cycles.
Quite often, the target market for a business product or service is smaller and has more specialized needs reflective of a specific industry or niche.[3] A B2B niche, a segment of the market, can be described in terms of firmographics which requires marketers to have good business intelligence in order to increase response rates. Regardless of the size of the target market, the business customer is making an organizational purchase decision and the dynamics of this, both procedurally and in terms of how they value what they are buying from you, differ dramatically from the consumer market. There may be multiple influencers on the purchase decision, which may also have to be marketed to, though they may not be members of the decision making unit.[4]
The business market can be convinced to pay premium prices more often than the consumer market if you know how to structure your pricing and payment terms well. This price premium is particularly achievable if you support it with a strong brand.[5]
Promotion planning is relatively easy when you know the media, information seeking and decision making habits of your customer base, not to mention the vocabulary unique to their segment. Specific trade shows, analysts, publications, blogs and retail/wholesale outlets tend to be fairly common to each industry/product area. What this means is that once you figure it out for your industry/product, the promotion plan almost writes itself (depending on your budget) but figuring it out can be a special skill and it takes time to build up experience in your specific field. Promotion techniques rely heavily on marketing communications strategies (see below).
The importance of a knowledgeable, experienced and effective direct (inside or outside) sales force is often critical in the business market. If you sell through distribution channels also, the number and type of sales forces can vary tremendously and your success as a marketer is highly dependent on their success.
The purpose of B2B marketing communications is to support the organizations' sales effort and improve company profitability. B2B marketing communications tactics generally include advertising, public relations, direct mail, trade show support, sales collateral, branding, and interactive services such as website design and search engine optimization. The Business Marketing Association [1] is the trade organization that serves B2B marketing professionals. It was founded in 1922 and offers certification programs, research services, conferences, industry awards and training programs.
An important first step in business to business marketing is the development of your positioning statement. This is a statement of what you do and how you do it differently and better and more efficiently than your competitors.
The next step is to develop your messages. There is usually a primary message that conveys more strongly to your customers what you do and the benefit it offers to them, supported by a number of secondary messages, each of which may have a number of supporting arguments, facts and figures.
Whatever form your B2B marketing campaign will take, build a comprehensive plan up front to target resources where you believe they will deliver the best return on investment, and make sure you have all the infrastructure in place to support each stage of the marketing process - and that doesn't just include developing the lead - make sure the entire organization is geared up to handle the inquiries appropriately.
A standard briefing document is usually a good idea for briefing an agency. As well as focusing the agency on what's important to you and your campaign, it serves as a checklist of all the important things to consider as part of your brief. Typical elements to an agency brief are: Your objectives, target market, target audience, product, campaign description, your product positioning, graphical considerations, corporate guidelines, and any other supporting material and distribution.
The real value in results measurement is in tying the marketing campaign back to business results. After all, you’re not in the business of developing marketing campaigns for marketing sake. So always put metrics in place to measure your campaigns, and if at all possible, measure your impact upon your desired objectives, be it Cost Per Acquisition, Cost per Lead or tangible changes in customer perception.
Hutt and Speh (2001) note that "business marketers serve the largest market of all; the dollar volume of transactions in the industrial or business market significantly exceeds that of the ultimate consumer market." For example, they note that companies such as GE, DuPont and IBM spend more than $60 million a day on purchases to support their operations.
Dwyer and Tanner (2006) say the purchases made by companies, government agencies and institutions "account for more than half of the economic activity in industrialized countriessuch as the United States, Canada and France."
A 2003 study sponsored by the Business Marketing Association estimated that business-to-business marketers in the United States spend about $85 billion a year to promote theirgoods and services. The BMA study breaks that spending out as follows (figures are in billions of dollars):
The fact that there is such a thing as the Business Marketing Association speaks to the size and credibility of the industry. BMA traces its origins to 1922 with the formation of the National Industrial Advertising Association. Today, BMA, headquartered in Chicago, has more than 2,000 members in 19 chapters across the country. Among its members are marketing communications agencies that are largely or exclusively business-to-business-oriented.
The tremendous growth and change that business marketing is experiencing is due in large part to three "revolutions" occurring around the world today, according to Morris, Pitt and Honeycutt (2001).
First is the technological revolution. Technology is changing at an unprecedented pace, and these changes are speeding up the pace of new product and service development. A large part of that has to do with the Internet, which is discussed in more detail below.
Technology and business strategy go hand in hand. Both are corelated. While technology supports forming organization strategy, the business strategy is also helpful in technology development. Both play a great role in business marketing.
Second is the entrepreneurial revolution. To stay competitive, many companies have downsized and reinvented themselves. Adaptability, flexibility, speed, aggressiveness and innovativeness are the keys to remaining competitive today. Marketing is taking the entrepreneurial lead by finding market segments, untapped needs and new uses for existing products, and by creating new processes for sales, distribution and customer service.
The third revolution is one occurring within marketing itself. Companies are looking beyond traditional assumptions and adopting new frameworks, theories, models and concepts. They're also moving away from the mass market and the preoccupation with the transaction. Relationships, partnerships and alliances are what define marketing today. The cookie-cutterapproach is out. Companies are customizing marketing programs to individual accounts.
The Internet has become an integral component of the customer relationship management strategy for business marketers. Dwyer and Tanner (2006) note that business marketers not only use the Internet to improve customer service but also to improve opportunities with distributors.
According to Anderson and Narus (2004), two new types of resellers have emerged as by-products of the Internet: infomediaries and metamediaries. Infomediaries, such as Google andYahoo, are search engine companies that also function as brokers, or middlemen, in the business marketing world. They charge companies fees to find information on the Web as well as for banner and pop-up ads and search engine optimization services. Metamediaries are companies with robust Internet sites that furnish customers with multiproduct, multivendor and multiservice marketspace in return for commissions on sales.
With the advent of b-to-b exchanges, the Internet ushered in an enthusiasm for collaboration that never existed before—and in fact might have even seemed ludicrous 10 years ago. For example, a decade ago who would have imagined Ford, General Motors and DaimlerChrysler entering into a joint venture? That's exactly what happened after all three of the Big Threebegan moving their purchases online in the late 1990s. All three companies were pursuing their own initiatives when they realized the economies of scale they could achieve by pooling their efforts. Thus was born what then was the world's largest Internet business when Ford's Auto-Xchange and GM's TradeXchange merged, with DaimlerChrysler representing the third partner.
While this exchange did not stand the test of time, others have, including Agentrics, which was formed in 2005 with the merger of WorldWide Retail Exchange and GlobalNetXchange, or GNX. Agentrics serves more 50 retailers around the world and more than 300 customers, and its members have combined sales of about $1 trillion. Hutt and Speh (2001) note that such virtual marketplaces enable companies and their suppliers to conduct business in real time as well as simplify purchase processes and cut costs.
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Marketing strategy[1][2] is a process that can allow an organization to concentrate its limited resources on the greatest opportunities to increase sales and achieve a sustainable competitive advantage.[3] A marketing strategy should be centered around the key concept that customer satisfaction is the main goal[citation needed].
Contents[hide] |
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Marketing strategy is a method of focusing an organization's energies and resources on a course of action which can lead to increased sales and dominance of a targeted market niche. A marketing strategy combines product development, promotion, distribution, pricing, relationship management and other elements; identifies the firm's marketing goals, and explains how they will be achieved, ideally within a stated timeframe. Marketing strategy determines the choice of target market segments, positioning,marketing mix, and allocation of resources. It is most effective when it is an integral component of overall firm strategy, defining how the organization will successfully engage customers, prospects, and competitors in the market arena. Corporate strategies, corporate missions, and corporate goals. As the customer constitutes the source of a company's revenue, marketing strategy is closely linked with sales. A key component of marketing strategy is often to keep marketing in line with a company's overarchingmission statement.[4]
Basic theory:
A marketing strategy can serve as the foundation of a marketing plan. A marketing plan contains a set of specific actions required to successfully implement a marketing strategy. For example: "Use a low cost product to attract consumers. Once our organization, via our low cost product, has established a relationship with consumers, our organization will sell additional, higher-margin products and services that enhance the consumer's interaction with the low-cost product or service."
A strategy consists of a well thought out series of tactics to make a marketing plan more effective. Marketing strategies serve as the fundamental underpinning by marketing plans designed to fill market needs and reach marketing objectives.[5] Plans and objectives are generally tested for measurable results.
A marketing strategy often integrates an organization's marketing goals, policies, and action sequences (tactics) into a cohesive whole. Similarly, the various strands of the strategy , which might include advertising, channel marketing, internet marketing, promotion and public relations can be orchestrated. Many companies cascade a strategy throughout an organization, by creating strategy tactics that then become strategy goals for the next level or group. Each group is expected to take that strategy goal and develop a set of tactics to achieve that goal. This is why it is important to make each strategy goal measurable.
Marketing strategies are dynamic and interactive. They are partially planned and partially unplanned. See strategy dynamics.
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Marketing strategies may differ depending on the unique situation of the individual business. However there are a number of ways of categorizing some generic strategies. A brief description of the most common categorizing schemes is presented below:
A more detailed scheme uses the categories[6]:
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Marketing participants often employ strategic models and tools to analyze marketing decisions. When beginning a strategic analysis, the 3Cs can be employed to get a broad understanding of the strategic environment. An Ansoff Matrix is also often used to convey an organization's strategic positioning of their marketing mix. The 4Ps can then be utilized to form a marketing plan to pursue a defined strategy.
There are many companies especially those in the Consumer Package Goods (CPG) market that adopt the theory of running their business centered around Consumer, Shopper & Retailer needs. Their Marketing departments spend quality time looking for "Growth Opportunities" in their categories by identifying relevant insights (both mindsets and behaviors) on their target Consumers, Shoppers and retail partners. These Growth Opportunities emerge from changes in market trends, segment dynamics changing and also internal brand or operational business challenges.The Marketing team can then prioritize these Growth Opportunities and begin to develop strategies to exploit the opportunities that could include new or adapted products, services as well as changes to the 7Ps.
Real-life marketing primarily revolves around the application of a great deal of common-sense; dealing with a limited number of factors, in an environment of imperfect information and limited resources complicated by uncertainty and tight timescales. Use of classical marketing techniques, in these circumstances, is inevitably partial and uneven.
Thus, for example, many new products will emerge from irrational processes and the rational development process may be used (if at all) to screen out the worst non-runners. The design of the advertising, and the packaging, will be the output of the creative minds employed; which management will then screen, often by 'gut-reaction', to ensure that it is reasonable.
For most of their time, marketing managers use intuition and experience to analyze and handle the complex, and unique, situations being faced; without easy reference to theory. This will often be 'flying by the seat of the pants', or 'gut-reaction'; where the overall strategy, coupled with the knowledge of the customer which has been absorbed almost by a process of osmosis, will determine the quality of the marketing employed. This, almost instinctive management, is what is sometimes called 'coarse marketing'; to distinguish it from the refined, aesthetically pleasing, form favored by the theorists.
Pour certains commentateurs, l'expression marketing de combat aurait été au départ une traduction de l'expression américaine Marketing Warfare. Cette expression a été créée par deux publicitaires new yorkais Jack Trout et Al Ries pour vendre des séminaires à grand spectacle dans le monde entier, reprise et popularisée par Philip Kotler dans un article duJournal of Business Strategy (1981) puis récupérée par les deux inventeurs pour leur livre sur le sujet.
Elle apparait pour la première fois en France en 1979 dans un opuscule (Les 25 mots-clés du Marketing de combat) puis comme titre d'un article de Direction et Gestion en juin 1980, enfin comme titre d'un forum international organisé à Paris sous l'égide de l'Association Nationale des Anciens de l'Institut de Contrôle et de Gestion en novembre de la même année.
Ce qui n'était, au départ, qu'une expression générique - celle d'une analogie parmi d'autres - recouvre rapidement un ensemble de concepts, méthodes et technologies qui se veut "un progrès dans l'intelligence marketing par rapport à la vision kotlerienne". Elle sera déposée comme marque en 1983 pour, « éviter les dérives et autres effets de mode dans un monde friand de nouveautés cosmétiques » (Yves H. Philoleau).
Comme elle recouvre deux conceptions du marketing très différentes, nous les distinguerons en les dénommant marketing guerrier, d'une part, et Marketing de combat d'autre part.
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On trouve une présentation très complète du Marketing Warfare de Philip Kotler dans la version anglaise de Wikipedia Marketing warfare strategies. Il est repris dans les éditions successives de Marketing Management, Publi-Union.
Le Marketing Warfare de Trout and Ries (1986) a été traduit sous le titre Le Marketing Guerrier, McGraw-Hill, 1996.
Dans les deux cas les auteurs distinguent quatre rapports de force ou de taille : leader, challenger, follower et nicher, qui conduisent à devoir adopter quatre types de stratégies : défense, attaque frontale, attaque de flanc et guérilla.
Il s'agit d'une transposition des méthodologies de prise de décision stratégique et tactiques des grands états-majors (France, USA, OTAN, URSS, etc.) à la prise de décision en univers concurrentiel. Dans les années 1970, en France, la Méthode de Raisonnement Tactique (la MRT) de l'École Supérieure de Guerre. Aujourd'hui, la MEDO et la MARS du Collège Interarmées de Défense. Et le schéma OODA de Boyd.
Dans cet esprit, on peut citer le livre des suédois Düro, un consultant, et Sandstrom, un colonel d'artillerie côtière. Simplement, la méthode transposée est celle de l'OTAN, utilisée par l'armée suédoise.
Dans la pratique, ce sont des business-wargames, transposition méthodologique des wargames militaires.
Les tenants de cette forme de marketing guerrier et des business-wargames correspondant ont en général été militaires (de carrière ou de réserve) et possédent une bonne culture militaire : Benjamin Gilad a été officier de renseignement dans l'armée israêlienne ; Jay Kurz, colonel dans l'armée canadienne ; Bjorn Sandström, colonel dans l'armée suédoise ; Gil Fiévet, général de brigade ; Gérard Coulon, général de division.
Pour bien se différencier du marketing de combat, ce « marketing guerrier » est devenu, à la fin des années 1980, le « Warketing », puis à la suite de l'emploi de plus en plus grand des nouvelles technologies dans la préparation et l'organisation des business-wargames, le « WWWarketing ».
Il ne s'agit plus d'une simple analogie militaire mais d'un ensemble structuré de concepts, de méthodes et technologies qui a pour objet une plus grande efficacité dans la conception et l'emploi des moyens marketing de renseignement, de promotion, de distribution et de communication. Le Marketing de combat entend constituer un progrès par rapport au Marketing-management de Philip Kotler.
Yves H. Philoleau, le créateur du Marketing de combat, y développe :
Disciple de Bernard Esambert ("La guerre économique mondiale"), Yves H. Philoleau rappelle que pour Clausewitz "La guerre est un conflit de grands intérêts réglés par le sang et c’estseulement en cela qu’elle diffère des autres conflits. (...) Il vaudrait mieux la comparer (...) au commerce qui est aussi un conflit d’intérêts et d’activités humaines." Sa conception du positionnement rejoint l'intuition du général André Beaufre : "Chose curieuse, on a pu constater (...) que l'on pouvait en matière psychologique s'approprier des positions abstraites, tout comme en guerre militaire on s'empare d'une position géographique et on l'interdit à l'ennemi." ('Introduction à la stratégie, 1963).
Le Marketing de combat est l'art de concevoir et de promouvoir des idées, des produits et/ou des services profitables pour l'entreprise ou l'organisation, qu'une part définie de la clientèle ou du public convoités, va préférer aux idées, produits et/ou services concurrents, tout en gênant ses adversaires dans l'utilisation de leurs moyens d'action ou dans leur manière de combattre afin de faire pencher, à son profit, la balance des forces engagées, quel que soit le rapport de force initial.
La pratique du Marketing de combat est une activité intellectuelle visant à optimiser la conceptualisation et la réalisation des campagnes marketing et communication depuis la conception et le positionnement des offres ainsi jusqu'au contrôle et au suivi de leur diffusion, distribution et communication. La pratique du Marketing de combat exige d'utiliser des outils de renseignement et de simulation qui s’exécutent suivant les règles et principes de la rigueur scientifique.
Le Marketing de combat est le marketing de la préférence par opposition au marketing de la différence. Pour les théoriciens et les praticiens du marketing de combat, "ce n'est pas seulement la clientèle qui génère l'offre, c'est aussi la concurrence". L'accent est mis sur la valeur ajoutée perçue de l'offre à promouvoir et sur les manœuvres de positionnement.
Pour le Marketing de combat, le marketing n'est pas une science : c'est un art de faire. Par contre, il applique à ses domaines d'expertise (comportements des clientèles, effets de lapublicité, retour sur investissement, etc.), les données scientifiques de la psychologie expérimentale, des statistiques ou de la microéconomie.
Yves H. Philoleau a créé le Marketing de combat à la fin des années 1970 pour répondre à une question opérationnelle : "Quelle mission précise confier à une agence de publicité qui soit de sa compétence propre ?" Comme publicitaire, il avait en effet constaté que les briefs des annonceurs ne permettaient pas d'établir un lien de cause à effet entre la « stratégie » marketing et la « stratégie » de communication ; entre les objectifs définis en points de marché et les budgets consacrés à la publicité. Au cours des années 1980-1990, le Marketing de combat a donné naissance à des techniques de plus en plus précises d'intelligence marketing avancée : protocole d'études et modélisation des univers de préférences, marketing wargames assistés par ordinateurs, tableaux de bord d'aides à la décision, système de prévision et de simulations.
Aujourd'hui, le Marketing de combat constitue un ensemble cohérent d'aides à la créativité et à la décision qui, de la conception de l'offre à la mesure des performances des campagnes, représente une révolution plus que jamais nécessaire dans l'Art du marketing. Raymond Aron ne s'y était pas trompé lorsqu'il affirmait en 1980, lors du lancement du Marketing de combat : "(...) lorsque Clausewitz rappelle aux chefs d'état que la guerre qui semble modérée peut devenir illimitée, c'est un conseil précieux qu'il donne aux responsables d'une entreprise : oui, pour l'instant, vous vivez dans une compétition tranquille; personne ne veut la mort de l'autre. Mais vous ne savez jamais à quel moment, cette compétition semi-paisible deviendra un Marketing de combat...".
(cf: Marketing de combat, le site officiel : http://www.marketingdecombat.com)
Certains commentateurs pensent que le marketing de combat et les marketing guerriers, qui visent les concurrents, peuvent avoir dans certains cas l'effet inverse de les renforcer, ou d'être dénoncés comme étant de la concurrence déloyale. A focaliser sur un intérêt extrêmement étroit, ils peuvent aussi faire perdre le sens de l'intérêt général et renforcer les tendances négatives de nos sociétés : individualisme, consumérisme insouciant de la dégradation de l'environnement, ignorance des enjeux géopolitiques, etc.
Yves H. Philoleau a souvent dû répondre à ces critiques. Il a rappelé que :
Le marketing mix ( parfois traduit par plan de marchéage ou politique de marchéage) désigne dans le cadre d'une entreprise ou d'une marque l'ensemble cohérent de décisions relatives aux 4 volets que sont : politique de produit, Politique de prix, Politique de distribution et de communication .1
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Le marketing mix est un mode de répartition d'analyse du marketing. L'objet du marketing étant l'analyse du marché, il a été choisi par l'usage (de manière arbitraire) de l'analyser par cet outil mnémotechnique simple que sont les 4 P2(Product, Place, Price, Promotion). L'analyse doit être répartie, car il n'est pas possible de réaliser raisonnablement une analyse identique dans des situations aux produits, lieux, mode de communication et prix très différents. Ces éléments portent en eux, en effet, le sens final de l'analyse du marché, c'est-à-dire a priori la recherche de l'identité des clients. La description de l'identité des clients est donc une conséquence (et non une cause) de l'analyse. La simplicité de la répartition est un point important à respecter à des fins d'intégration du marketing au sein de sciences de l'organisation (management) et plus particulièrement des sciences économiques. En effet, le marketing mix doit laisser l'opportunité d'un contrôle du marketing (son coût par exemple). Ceci n'est possible que si la répartition aboutie à l'utilisation d'indicateurs de gestion permettant de rapprocher lastratégie marketing de la stratégie d'entreprise. Il faut en effet rappeler que l'objet du marketing est d'obtenir les économies d'échelles par des ventes plus importantes ou plus généralement l'efficience qui va permettre la performance de l'entreprise.
La distinction de la stratégie marketing et celle plus globale de l'entreprise peut aussi enfin être considérée comme une cause de la répartition en 4 parties du marketing mix. La stratégie d'entreprise se focalise sur la notion de processus que ne peut intégrer simplement une stratégie marketing focalisée dans les faits sur les produits, la publicité, le lieu de distribution et le prix. C'est que les synergies organisationnelles de l'activité peuvent être éloignées des objectifs du service marketing. Ainsi, le marketing mix étendu tend à intégrer des éléments analysés en amont par la stratégie globale de l'entreprise.
Les démarches préalables à la définition du marketing mix (la stratégie marketing) sont le diagnostic interne/externe de l'entreprise, la segmentation du marché, le positionnement de la marque et de chacun de ses produits ou services. Le diagnostic aboutit à la définition d'objectifs en termes de segmentation du marché, qui permettra à l'entreprise d'envisager certaines sources de volume de vente. La définition d'un positionnement au sein de la segmentation va nourrir l'image de marque de l'entreprise.3
Le plan de marchéage se fondait essentiellement selon Jerome McCarthy (1960), largement vulgarisé par Philip Kotler sur la règle dite des 4 P, ces quatre politiques définissent le produit au sens large et ses implications commerciales au plan :
Lorsque les actions concernant ces quatre domaines sont:
On aboutit au plan marketing de la période considérée.
Même si le modèle "4P" est une répartition arbitraire de l'analyse marketing, certains auteurs ajoutent d'autres dimensions comme le Client ou encore plus récemment le "P" de participation issus des techniques du Web 2.0 et plus particulièrement du Marketing 2.0. Des critiques sont aussi émises par d'autres experts qui considèrent que certains points de ce modèle ne concernent que les produits et services pour particuliers.
La légitimité du modèle des 4P est aussi remise en cause concernant les services car elle parait insuffisante. C'est pourquoi des auteurs, notamment Berry (1985), Eiglier et Langeard (1987) ou encore C. Lovelock (1996) ont mis au point un nouveau modèle. Celui-ci tient compte des spécificités de la "servuction" (création d'un service) qui sont l'intangibilité, mais aussi l'hétérogénéité et le caractère périssable de ceux-ci. Le modèle des 7P ajoute, en plus des quatre catégories habituelles (product, price, place et promotion), les suivantes :
Certains ont critiqué l'apport conceptuel de ces 3 P dans la mesure où les idées qu'il représentent peuvent être incluses dans les 4 P originaux : le « Process » serait essentiellement un problème lié au produit, tandis que « People » serait essentiellement lié à la production, donc au produit, ou parfois à la promotion, et « Physical evidence » serait plus ou moins assimilé à la promotion.
Le marketing politique (ou clientélisme politique) est une variante de la politique de communication marketing qui consiste à promouvoir un homme ou un projet politique sur le modèle des techniques de marketing commercial. Il représente donc un ensemble de méthodes dont peuvent faire usage les organismes politiques pour définir leurs objectifs, leurs programmes et pour influencer le comportement des électeurs.
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Les origines du marketing politique sont discutées. Certains voient dans la campagne d´Égypte de Bonaparte, conseillée par Talleyrand, ministre des Relations extérieures, un des premiers germes, alors que d´autres préfèrent évoquer Joseph Goebbels, les films de Leni Riefenstahl, les slogans politiques nazis et l´intoxication cérébrale du Troisième Reich. Il s´agit là de propagande politique, certes, mais le débat sur la terminologie reste complexe. Le marketing politique moderne, occidental, élaboré par des professionnels de la publicité est un produit d´origine américaine. La première agence de publicité spécialiste des campagnes politiques, Campaign, Inc., a été fondée en Californie en 1933 par Clem Whitaker et Leone Baxter1.
On estime la naissance du marketing politique aux alentours de 1932 aux États-Unis lorsque le président Franklin D. Roosevelt donne des émissions de radio appelées « causeries au coin du feu ». C'est en 1952 que ce type de communication prend véritablement naissance. Le candidat Eisenhower, sous l'influence du cabinet en communication BBDO s'adresse aux électeurs au travers d'un média principal, la télévision, et d'un thème unique fondé sur une technique de marketing commercial, la Unique Selling Proposition (USP). Le slogan « I like Ike » fait date. L'ère du média télévisuel donnera une importance particulière à l'apparence. Le jeune John Fitzgerald Kennedy profitera de ce critère pour être élu. Lors du débat présidentiel, face à un Richard Nixon au costume sombre et dont le non-maquillage dévoile un mauvais rasage et les traits tirés par la fatigue, le jeune Kennedy triomphe et deviendra Président des États-Unis d'Amérique.
Le marketing politique a depuis évolué aux États-Unis, notamment par la transformation des primaires en un véritable show politique ainsi que par la surmédiatisation des deux principaux candidats suivis au jour le jour.
Depuis 1952 et la campagne présidentielle de Dwight D. Eisenhower, les publicitaires et les professionnels des relations publiques sont entrés dans le jeu de la politique. Après cette date, et le succès du Candidat républicain à la présidence des États-Unis d'Amérique, l´utilisation des techniques de marketing, qui étaient auparavant utilisées pour les produits de consommation, va largement se répandre à toutes les élections.
A chaque développement technologique dans le domaine des médias, le marketing politique a trouvé un nouvel outil pour amplifier sa communication persuasive. Pendant l´entre deux guerres, les politiciens ont appris à se servir habilement de la radio, pour diffuser leur message, Adolf Hitler en est un exemple, puis à partir des années 60 et John F. Kennedy, latélévision devient l´élément majeur de la communication politique ; le Général Charles de Gaulle, en France, chercha à améliorer l’utilisation de ce media. Aujourd´hui, Internet est au cœur de nombreux ouvrages traitant du marketing politique.2
En France, il faut attendre 1965 et la candidature de Jean Lecanuet face au Général de Gaulle. Sur le modèle de Kennedy, Lecanuet se fait remarquer par une forte présence télévisée ainsi qu'un attribut qui deviendra son surnom: « dents blanches ». De Gaulle, alors anti-marketing, évite la défaite. Lecanuet était conseillé par l'agence (Services et méthodes) de Michel Bongrand. Aux élections suivantes, il se fera conseiller par l'agence Havas. (Services et Méthodes) se fera également connaitre par un contrat de conseil de l'UNR pour les élections législatives de 1967.
Dès lors, tous les futurs candidats à la présidentielle suivront cette règle de coaching en communication. Tout est réglé sur mesure: l'habillement, la posture, les médias utilisés et surtout le discours. Le slogan « La Force tranquille » imaginé par Jacques Doyen, de l'équipe de Michel Bongrand pour Valery Giscard d'Estaing, et finalement repris par le publicitaireJacques Séguéla contribuera à la victoire de François Mitterrand en 1981. Puis en 1986 par une campagne de teasing organisée par le RPR de Jacques Chirac : « Vivement demain...; ...Avec le RPR ». L'escalade des coûts est stoppée dans les années 1990 où plusieurs lois encadrent les campagnes électorales et limitent drastiquement leurs budgets.
« En politique, ce qui est cru devient plus important que ce qui est vrai. »; Talleyrand
Le marketing politique joue habituellement plus sur les aspects émotionnels que sur les programmes précis et les points techniques. De ce point de vue il rejoint parfois la manipulation.
Il est clair que les médias ont un rôle majeur dans le marketing politique, mais ils sont loin d´être le seul outil. Ils sont une méthode. Le marketing politique a recours notamment à des techniques de ciblage ainsi qu'à des modes de communication proches de ceux de la publicité ainsi que des méthodes de persuasion ou rhétorique souvent destinées à faire basculer les débats et influencer les électeurs. Même si la communication est primordiale dans le marketing politique, celle-ci n'est que la partie émergée de l'iceberg. Le marketing politique étant avant tout une stratégie de conquête électorale grâce à un message avec le bon fond et la bonne forme. Les thèmes de campagne font donc partie de cette stratégie car ils abordent les sujets d'intérêt pour les électeurs. Les professionnels du marketing politique peuvent être aussi bien employés pour promouvoir un candidat ou un parti qu'un pays ou une cause. (laguerre en Irak en 2003, par exemple).
On reproche souvent au marketing politique de vendre des gens (les candidats) comme on vendrait des choses. (des produits dans la publicité)3 et de remplacer les idées politiques par les images.
Il demande des moyens importants et coûteux :
Du fait de ses coûts, il est utilisé prioritairement lors des campagnes électorales ou de situations de crise. Il est ainsi à distinguer de la propagande, une action plus permanente et en profondeur.
L'artisan principal du marketing politique est le spin doctor.
Le cœur de métier du marketing est de mener toutes les recherches possibles pour déterminer les besoins et attentes des consommateurs avant de lancer un produit ou de développer un service. Le marketing politique a les mêmes objectifs. Les présidents américains notamment, ont largement fait appel aux sondages d’opinion pour orienter leur mandat. Les programmes puis les applications politiques sont d’abord testés sur des focus group puis des recherches marketing sont faites pour développer des tactiques, et des stratégies pour les faire apparaître sous leur angle le plus séducteur aux citoyens.
Les sondages ont été introduits par George Gallup en 1932 alors qu’il travaillait chez Young & Rubicam. Il prédit, suite à une enquête, que sa belle-mère serait élue secrétaire d’Etat dans l’Iowa. Il venait d’inventer le sondage politique. Aujourd’hui, le sondage est devenu l’outil le plus important pour l’homme politique.
Même si elle n’est pas utilisée en France, la publicité comparative est très courante aux États-Unis. Le principe est de montrer, dans une publicité télévisée par exemple, les faiblesses du parti politique ou du candidat opposé. Parfois, le caractère même du candidat est attaqué. Cette méthode est très en vogue auprès des consultants parce que les électeurs se rappellent plus facilement un message négatif qu’un message positif.4 On a vu, par exemple, dans les élections canadiennes de 1993, le Parti Progressif-Conservateur du Canada se moquer ouvertement de la paralysie faciale du leader libéral Jean Chrétien dans ses publicités.
L’envoi de courrier est également classique. Les candidats l’utilisent souvent pour annoncer leurs programmes ; de même, les élus s’en servent pour souhaiter leurs vœux en début d’année ou pour des occasions particulières. Mais cela peut aller encore plus loin : il existe des campagnes de courriers « fantômes ». Leur but est de ne pas se faire remarquer par lesjournalistes, le grand public et les adversaires. Cette pratique s’adresse aux principaux lobbies, aux donateurs généreux, aux personnes qui les aident à faire du phoning. Elle fut largement utilisée lors de la campagne présidentielle de 1980 même dans les derniers jours de la campagne. Ces courriers, parfois dans un langage grossier peuvent répandre des rumeurs auxquelles les candidats n’ont parfois pas le temps de répondre.
Le focus group est une technique de recherche marketing spécifique que les entreprises utilisent depuis des années pour tester des nouveaux concepts de produits ou des techniques de publicité. Il s’agit de petits groupes de gens, entre 5 et 15, qui sont assis autour d’une table et qui répondent aux questions que le leader leur pose. Les participants sont choisis scrupuleusement pour ces séances, en général par téléphone, et sont rémunérés entre 30 et 150 €. Cette technique est utilisée en période électorale pour savoir ce que pense un segment précis de la population sur un thème donné.
Une autre technique qui est devenue populaire est le « Push Poll ». Le principe est d’appeler plusieurs milliers d’électeurs et de les soumettre à un questionnaire dans lequel le candidat opposé est dénigré pour voir les réactions que peuvent avoir les gens et leur suggérer qu’un politique est peut-être différent que ce qu’ils pensent. Par exemple : « Si vous veniez à apprendre que le candidat X a trompé sa femme, avec qui il vit depuis 32 ans et dont il a quatre enfants, avec une femme de 19 ans alors qu’il était dans ses fonctions d’élus, seriez-vous prêt(e) à voter pour lui à nouveau ? ».
Le télémarketing est également utilisé aux États-Unis pour les campagnes électorales. Cependant, avec la baisse du nombre de bénévoles, ces services téléphonique sont généralement sous-traités par des entreprises privées. Les informations sont collectées dans des bases de données compatibles avec des logiciels de campagne qui traitent les informations et sortent des lignes directrices.
On peut noter qu’en France entre les deux tours de l’élection présidentielle de 1981, François Mitterrand a fait appel à cette technique. Son opération : « Cent coups de fils pour convaincre » avait pour but que des militants socialistes, munis d’argumentaire de campagne appellent 20 personnes en une heure pour les convaincre d’amener leur voix au candidat socialiste.
Le Répondeur téléphonique est encore d’origine américaine. Les candidats, des célébrités ou des militants enregistrent des messages en aval de la campagne. Puis après une programmation de « robot » (téléphone automatique), le message est délivré à des particuliers avant la campagne. En général, le but est évidemment d’inciter les électeurs à aller voter pour le candidat, mais parfois, le but est juste de répondre à une attaque de l’adversaire. Les personnes contactées sont de manière générale ciblées, mais provoque parfois des surprises ; un manager de campagne canadien rapporte ces faits : avant une élection au Canada, 8 000 électeurs ont reçu cet appel personnalisé : « Bonjour, je suis le candidat X. Je suis désolé mais vous me manquez vraiment. Je veux vraiment que vous sachiez qu’il est très important d’aller voter. L’élection est demain et je compte vraiment sur votre soutien », pour un prix qui n’est vraiment pas prohibitif. Les retours furent du type : « C’est incroyable, le candidat X m’a appelé cette nuit ! Je le crois à peine ! »5.
La diffusion de numéros verts pour entrer en contact avec des militants et discuter avec eux sans avoir à payer le prix de la communication est une des autres méthodes utilisées avec le téléphone.
On peut encore évoquer les recherches qui visent à trouver tout ce qui est possible sur un candidat adverse, coutume répandue aux États-Unis, où Grover Cleveland avait été accusé parJames Blaine d’avoir eu des enfants illégitimes. Cette méthode existe donc depuis longtemps, c’est l’argument ad hominem que Schopenhauer place comme deuxième base de la dialectique (avec l’argument ad rem), dans; « son Art d’avoir toujours raison ».
Les Américains appellent cela l’ « opposition publicitaire », car le but est de faire opposition dans le but d’embarrasser le candidat. Ils n’hésitent pas à aller chercher des documents d’archive, des prises de position par rapport à des sujets polémiques (on a vu Arnold Schwarzenegger se faire rappeler une interview des années 1970 où il disait consommer ducannabis), des rapports de service militaire (George W. Bush en fait les frais face à John Kerry qui a remis en cause son passé militaire), du Financement de la vie politique et électorale.
Aussi, il arrive que des candidats emploient des firmes ou des enquêteurs privés pour qu’elles leur fassent un audit personnel, sur leur passé, pour trouver des moments de vulnérabilité auxquels il serait bon de trouver une solution si jamais on les attaque à ce propos.
L'approbation des célébrités, consiste à une mise en marché commercial à faire porter un produit par une célébrité pour qu’elle lui transfère ses qualités dans l’esprit des consommateurs (l’exemple des modèles qu’utilise l'Oréal est flagrant). Aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France… les hommes politiques se font de même souvent soutenir par des personnalités. Les stars d’Hollywood sont les bienvenues pour des séances photos avec un candidat démocrate ou républicain.
La pré-campagne, dont le but est de communiquer avec les électeurs bien en avance. Un principe que l’on retrouve dans le marketing du cinéma, qui annonce longtemps à l’avance la sortie d’un film événement et qui fait des campagnes d'appréciation avant même la sortie de la bande annonce. Le but est de préparer au mieux la campagne pour qu’une fois qu’elle soit véritablement lancée, les efforts préliminaires permettent d’en maximiser les effets. La campagne d’affichage de Jacques Chirac pour les élections de 1988 a eu une pré-campagne d'évaluation dès 1985.
La campagne Internet est en train de se développer et permet aux électeurs de trouver à chaque instant les informations, films, programmes des candidats. Le media permet également de répondre par courriels et de communiquer par bulletin. Les donations en ligne se sont largement développées, notamment avec la campagne Internet de George W. Bush de 2000.
La manipulation de l’image n’est pas nouvelle. Dès 1860, Abraham Lincoln avait compris qu’il fallait se présenter le plus séduisant possible ; pour sa campagne, il se fit représenter plus jeune et avec un cou plus court. Aujourd’hui avec la technologie numérique, la modification d’une image est d’une simplicité incroyable. Des logiciels comme paintShop ouPhotoshoppermettent de retirer des gens des photos, d'en ajouter d’autres, de changer de lieu, de corriger les impuretés du visage… D’autres logiciels, un peu moins courant permettent de faire le même type de travail sur un support vidéo. Dès lors, on comprend qu’il est logique que les candidats apparaissent souvent avec des visages auxquels on a supprimé les défauts.
Dans une enquête pour Business Week, M. Landler remarquait en 1992 que 36% des personnes contactées pour un sondage refusaient de répondre, soit 12% de plus que 6 ans auparavant.6
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Marketing strategy is a process that can allow an organization to concentrate its limited resources on the greatest opportunities to increase sales and achieve a sustainable competitive advantage.[1].
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Marketing strategies serve as the fundamental underpinning of marketing plans designed to fill market needs and reach marketing objectives.[2] Plans and objectives are generally tested for measurable results. Commonly, marketing strategies are developed as multi-year plans, with a tactical plan detailing specific actions to be accomplished in the current year. Time horizons covered by the marketing plan vary by company, by industry, and by nation, however, time horizons are becoming shorter as the speed of change in the environment increases.[3]Marketing strategies are dynamic and interactive. They are partially planned and partially unplanned. See strategy dynamics.
Marketing strategy involves careful scanning of the internal and external environments which are summarized in a SWOT analysis[4] . Internal environmental factors include the marketing mix, plus performance analysis and strategic constraints [5]. External environmental factors include customer analysis, competitor analysis, target market analysis, as well as evaluation of any elements of the technological, economic, cultural or political/legal environment likely to impact success [6] [3]. A key component of marketing strategy is often to keep marketing in line with a company's overarching mission statement.[7]
Once a thorough environmental scan is complete, a strategic plan can be constructed to identify business alternatives, establish challenging goals, determine the optimal marketing mix to attain these goals, and detail implementation. [3] A final step in developing a marketing strategy is to create a plan to monitor progress and a set of contingencies if problems arise in the implementation of the plan.
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Marketing strategies may differ depending on the unique situation of the individual business. However there are a number of ways of categorizing some generic strategies. A brief description of the most common categorizing schemes is presented below:
A more detailed scheme uses the categories[8]:
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Marketing participants often employ strategic models and tools to analyze marketing decisions. When beginning a strategic analysis, the 3Cs can be employed to get a broad understanding of the strategic environment. An Ansoff Matrix is also often used to convey an organization's strategic positioning of their marketing mix. The 4Ps can then be utilized to form a marketing plan to pursue a defined strategy.
There are many companies especially those in the Consumer Package Goods (CPG) market that adopt the theory of running their business centered around Consumer, Shopper & Retailer needs. Their Marketing departments spend quality time looking for "Growth Opportunities" in their categories by identifying relevant insights (both mindsets and behaviors) on their target Consumers, Shoppers and retail partners. These Growth Opportunities emerge from changes in market trends, segment dynamics changing and also internal brand or operational business challenges.The Marketing team can then prioritize these Growth Opportunities and begin to develop strategies to exploit the opportunities that could include new or adapted products, services as well as changes to the 7Ps.
Real-life marketing primarily revolves around the application of a great deal of common-sense; dealing with a limited number of factors, in an environment of imperfect information and limited resources complicated by uncertainty and tight timescales. Use of classical marketing techniques, in these circumstances, is inevitably partial and uneven.
Thus, for example, many new products will emerge from irrational processes and the rational development process may be used (if at all) to screen out the worst non-runners. The design of the advertising, and the packaging, will be the output of the creative minds employed; which management will then screen, often by 'gut-reaction', to ensure that it is reasonable.
For most of their time, marketing managers use intuition and experience to analyze and handle the complex, and unique, situations being faced; without easy reference to theory. This will often be 'flying by the seat of the pants', or 'gut-reaction'; where the overall strategy, coupled with the knowledge of the customer which has been absorbed almost by a process of osmosis, will determine the quality of the marketing employed. This, almost instinctive management, is what is sometimes called 'coarse marketing'; to distinguish it from the refined, aesthetically pleasing, form favored by the theorists.